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À la demande populaire, le concerte symphonique de The Legend of Zelda: Symphony of the Goddesses revenais à la Place des Arts. Puisque c’était le second passage à Montréal, ce concert fut appelé «Second Quest» (seconde quête). Ils ont changé un peu le programme et ils ont joué plusieurs nouveaux contenus comparativement à l’année dernière. Bien sûr, ils ont été obligés de jouer certains morceaux classiques pour ne pas recevoir des courriels haineux (blague). Voici le déroulement de la soirée:

  • Ouverture (un medley de plusieurs pièces)
  • Link’s Awakening
  • Spirit Tracks
  • Premier mouvement: Ocarina of Time
  • Deuxième mouvement: Wind Waker HD
  • – Pause–
  • Gerudo Valley
  • Troisième mouvement: Twilight Princess
  • Quatrième mouvement: A Link to the Past
  • – rappel–
  • – Majura’s Mask
  • – Dragon Rooster Island (Wind Waker)
  • – Skyward Sword

Comme l’an dernier, j’ai eu des frissons à chaque mouvement. Pour quelqu’un qui pas un «fan fini» comme moi, le concert était assez semblable que la première fois. Même si c’est des morceaux différents, il n’en reste pas moins que le spectacle reste pareil visuellement. Mais ça n’empêche pas que j’ai encore une fois adoré.

Comparativement à l’an dernier, j’ai été déçu qu’il n’y ait pas d’activité avant et pendant l’entracte. Il y avait, la première fois, plusieurs consoles avec des jeux de Zelda (évidemment) et une séance de photo avec Link. Il faut dire que c’était pour le 25e anniversaire et cette année, ce ne l’était plus.

Encore une fois, Jeron Moore (producteur et concepteur) est venu présenter les différentes pièces. Il était accompagné avec la même interprète. Il y a eu quelque running gag sur ça et ils ont été pas mal moins présents sur scène que l’an dernier.

Lors du deuxième mouvement, Eimear Noone, la chef d’orchestre, s’est adressée au public. Elle disait que ce mouvement était spécial pour elle et qu’elle avait un attachement pour ce morceau. Elle sortit d’une petite boîte la «Baguette du Vent» du jeu Wind Waker. La foule a éclaté joie. C’est alors que l’orchestre a commencé à jouer les pièces de la version nouvelle de Wind Waker (annoncée sur Wii U lors du E3).

Pour le quatrième mouvement, Jeron Moore nous agacé à propos de The Legend Of Zelda: A Link Between Worlds. C’était bien sûr la musique de «A Link’s to the Past» qui allait être jouée. La foule a atteint son maximum de joie.

Finalement, il y a eu trois rappels, chacun avec un «standing ovation». Le premier rappel fut sur la musique de Majura’s Mask, un jeu qui ne pouvait pas être évité. Ensuite, Jeron Moore est venu sur scène, il voulait testé les connaissances de la foule avec un petit jeu, mais malheureusement quelqu’un a crié la réponse avant même qu’il pose ses questions, il a été un peu embarrassé, mais ce fut quand même bien drôle de voir sa réaction. La personne avait bien raison, c’était bel et bien Dragon Rooster Island de Wind Waker qui allait être joué. Le dernier rappel, un medley de Skyward Sword. Jeron Moore a mentionné qu’ils l’avaient pas fait l’an dernier vu que le jeu était trop récent. Ça a extrêmement bien conclu ce magnifique concert.

Si The Legend of Zelda: Symphony of the Goddesses revient pour une troisième année, je vous recommande fortement d’acheter des billets. Ça vaut énormément le prix du billet, que de plaisir.

http://zelda-symphony.com/

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– Petite critique personnelle pour me vider le cœur –

Le seul b-mole de la soirée qui a brisé mon expérience est un «infant» de 6-7 ans qui n’arrêtait pas de parler, de fredonner et de donner des coups de pieds sur mon siège. Je ne comprends pas trop pourquoi un parent voudrait payer le gros prix et amener son jeune quand tu sais qu’il ne pourra pas rester tranquille et ne conservera pas son attention pendant deux heures. Le père n’était pas mieux, il ne faisait rien pour calmer son fils. Ça ne me dérange pas que l’enfant soit content et qu’il ait du plaisir, mais il y a tout de moins une manière d’apprécier le spectacle sans déranger les gens autour de soi.

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